[…]. Dans notre perspective, l’exorciste n’a pas à se demander si la personne est psychologiquement malade ou pas, à l’exception, bien sûr, des cas où le délire exclut toute possibilité d’un véritable entretien sur la foi. »
[…]. Dans notre perspective, l’exorciste n’a pas à se demander si la personne est psychologiquement malade ou pas, à l’exception, bien sûr, des cas où le délire exclut toute possibilité d’un véritable entretien sur la foi. »